Léonard

Encore une récidive du côté du Grimoire Mayfair !

Cette fois, je réponds au sketch d'une belle qualité crée par Rowan, et pour un sujet qui me trotte depuis très très longtemps dans la tête et dans les doigts (voir > ma 1ere page < dans le thème). Je réponds également à la liste de Mai, du forum ScrapFactory (fond blanc, embellissements blancs, journaling caché -là, j'ai été bien eue, car je ne mets jamais de journaling sur mes pages !?-) ; et enfin bien inspirée par un défi 'inspiration' lancé sur le Forum 'Envie de scrap'...
le sous-titre :A l'instar de Léonard, J’aurais aimé être capable d’appréhender mon époque dans sa totalité…

Egalement très inspiré par le dernier roman que je viens de finir (en larmes) : L'obsession Vinci, le dernier tome de la trilogie de Sophie Chauveau (1. La passion Lippi / 2. Le rêve Botticelli / 3. -). Ayoye, si vous voulez pénétrez dans l'avènement de la peinture en tant qu'art, il faut ABSOLUMENT lire ces trois ouvrages. Un style d'écriture magnifique, une cadence extraordinaire, des scènes plus vivantes qu'aucun film ne saura jamais refaire, et d'une sensualté parfaite avec ça. Et avec toute la délicatesse de la peinture renaissante. Bref, du gros bonheur pour lecteur. J'ai littéralement fini chaque tome en pleurs, alors même que dans les faits je connais l'histoire de ces hommes, de ces peintres géniaux. Mais là... ouf, lisez-les, vous en reviendrez plus instruits, plus humains et plus riches. Bref, ça n'est pas le propos du jour... Léonard, donc :

Crédit image :
Léonard de Vinci

Papiers :
Quattro, SEI -Poppy-, PixiePress -Vellum antique gold-, Prima Marketing -Acétate-

Lettrages :
Quickutz -Washington-, Nellie Snellen Design -Clippunch-, Police d'écriture 'Jane Austern'

Embellissements :
Siléa, Artoz


Le texte, sur le Tag caché :
'Le génie à l’était pur, en avance d’un, deux, voire quatre siècles. Il avait pu apprendre, lui, tout ce qu’il y avait à savoir sur et dans son temps… Un homme que j’aurais rêvé de rencontrer, de suivre où qu’il aille. Je sais bien qu’en son siècle, en tant que fille je n’aurais eu le droit de rien, mais je rêve, je rêve…
Du jour où j’ai découvert ses dessins, puis ses carnets, du jour où un part infime de ses rêves m’ont été accessibles, je ne cesse de rêver de pouvoir transgresser le temps afin d’aller à sa rencontre, d’être -ne serait-ce qu’une heure- proche de cet esprit incroyable et merveilleux. Incroyable et souvent incompris, même posthume. Libre. Sauvage. Ignoré en même temps qu’adoré ; gourmand et même vorace, délicat, sublime, oui, puissamment sublime…
Définitivement absolu.'
Tout est dit, me semble-t'il, bien qu'après tout ça vous ne puissiez plus me croire aussi modeste que je le voudrais. Ah bah tant pis, j'suis découverte.